ANNA ~ shake it out

ANNA-JANE GWEN PERSSON

Salut toi ! Bon il paraît qu'il faut me présenter et comme je suis plutôt obéissant(e), je m'y colle! Alors je m'appelle Anna-Jane Gwen Persson , plutôt original non ? Je suis né(e) le 24/05/1986 à Cork , et si vous êtes plutôt doué en calcul vous aurez compris que j'ai 26 ans. De façon plus personnelle je suis mariée , et je ne m'en plains pas plus que ça ! Actuellement je suis vétérinaire spécialisé en animaux sauvage. a mi-temps entre le zoo & marineland. Ah oui! Il paraît également que je ressemble à katie mcgrath , mais je n'en crois pas un mot.Vous pourrez également me retrouvez parmi les falling love , et oui on ne me changera pas !

FIND ME SOMEBODY TO LOVE

. Que pensez vous de Littleton ? J’aime énormément Littleton, j’y ai trouvé mon chez moi. Ici c’est chez moi maintenant. Je suis arrivée ici il y a maintenant environ cinq ans. Au départ ce ne devez être que pour quinze jours, des vacances, mais au final je suis restée. De part l'abandon de mes parents et le fait que j'ai trouvée l'amour. Ça change tout ça. Et puis les gens sont formidable ici je trouve. J'aime tout simplement. C'est une ville, une façon de vivre que j'apprécie.

. L'amour et vous, ça donne quoi ? L’amour et moi ça donne une grande histoire. Je suis mariée, je suis folle amoureuse. Je me suis rendue compte combien je l’aimais quand j’ai failli le prendre, plus jamais, non plus jamais je ne voudrais revivre ça. C’est difficile, les temps sont difficiles, mais je m’accroche car il s’accroche. On s’accroche l’un à l’autre. C’est ça l’amour non ? Donner des chances quand il n’y a plus de chance à donner. Etre là même quand on n’en a marre d’y être. Espérer sans espoir. Je suis folle de lui.

. Que dite vous du maire ? Cinglé ou génie ? Un grand génie cinglé. Il est les deux à la fois je pense. Même si c’est temps-ci je n’ai pas trop le temps de m’intéresser à ce cher maire, je pense qu’il est les deux à la fois. Toute façon dans ma façon de penser, je pense que tout génie est cinglé. Regardé Einstein c’était un génie mais il était cinglé. Je crois, dans mes croyances en tout cas, qu’on n’est jamais l’un sans l’autre. Donc ce cher et adorable maire est génialement cinglé.

you behind your computer

So, je m'appelle Aurélie, on me croise souvent sous le pseudo de Swan ou LinkinGreen30 ou Lilie. Je suis admin sur le forum donc je pense que vous saviez tous ce que j'en pense. !! Si vous voulez en savoir plus sur moi, n'hésitez pas à allez faire un tour du côté du sujet de présentation du staff ! Mais je le rappel si vous avez le moindre soucis vous savez que vous pouvez compter sur nous. Je suis généralement présente 7/7j sauf exception ^^ ! Et je suis une friande des MPs

inspiré d'une fiche de lien de redsky

TELL ME SOMETHING ABOUT YOU

"tout enfant vient sur terre avec un message disant que Dieu n'est pas désespéré de nous"

Je m’appelle Anna-Jane Gwen Richards, je suis née à Cork, dans ce magnifique pays qu’est l’Irlande. J’ai vingt-six ans aujourd’hui et je suis ici aujourd’hui pour vous conter les vingt-six premières années de ma vie. Vous conter les meilleures anecdotes de la douce … ou pas … vie.

Evelyne Solia était une jeune femme de vingt et un ans, quand elle mit au monde son premier enfant, moi en l’occurrence, Olivier Azraël avait vingt et trois ans, quand il devint pour la première fois papa, encore une fois c’est de moi dont il est question. Deux jeunes gens à peine entré dans le monde « adulte », ils se sont mariés six mois plus tard. Ma mère finit ses études de vétérinaire et mon père son internat de médecine. Un an plus tard mon petit frère arriva, Sean-Ronan. Nous n’avions qu’un an de différence. Nous avions donc presque était élevé ensemble. Ma petite sœur arriva alors que je venais de fêter mes quatre ans, Olivia-Mia. Elle était tellement belle et elle avait la même couleur de cheveux que moi. Très vite nous avons grandis tous les trois ensembles. Chacun avec un caractère bien définit. Nous étions différents mais unis. Puis plus le temps passé, plus nos parents nous laissaient pour partir en Afrique et autre pays, l’un pour étudié les populations animal sauvages et l’autre pour venir en aide par le biais d’association caritative. Ils nous laissaient de plus en plus souvent avec la nounou. Jour et nuit. Nous n’avions plus qu’elle, « Nanou ». J’avais eu l’habitude d’être avec papa et maman tout comme Sean. Olivia est plus arrivée dans cette période d’absence. Et mes parents me manquaient beaucoup je me sentais abandonnée. Ils étaient jeune, ils étaient fou d’avoir fait autant d’enfant si jeune, c’était ce que j’entendais sortir de la bouche de « Nanou » quand elle invitait les voisines à la maison boire le thé. Mais à cette époque j’étais jeune pour comprendre, mais maintenant je comprenais ce qu’elle disait. Et je me suis juré de ne pas refaire la même erreur. Afin de faire en sorte que mes enfants grandissent dans l’amour et le bonheur et surtout me connaisse moi et leur père. Car au bout du bout je ne connaissais pas mes parents, je devais les voir deux fois par an pendant un mois. Donc deux mois sur douze, ça faisait peu. Puis une fois que j’ai eu dix-huit ans. Nanou quitta le logement et c’est moi qui dû prendre soins de mon frère et ma sœur malgré que je continuais les études. J’ai donc dû rapidement apprendre à être responsable et apprendre les choses essentielles d’une maison rapidement.

Laissez-moi à présent vous raconter quelques faits marquant de mon existence.

"a défaut de pouvoir compter sur tes amis, ta famille est la seule qui ne te trahiras jamais"

« Jane ? ». J’étais en train de faire un gâteau au chocolat pour le dessert du soir. Quand mon frère arriva. « Sean ? ». Je relevais la tête en même temps. Et je ne vis rien venir, je me reçue en pleine face une grosse poignée de farine. Je restais un instant complétement stupéfaite. Je relevais les yeux et je croisais ceux de Sean complétement hilare par son geste. « SALE MIOCHE ! ». Je pris une poignée de farine que je lui lançais dessus à mon tour. Et c’est comme ça que dégénéra la bataille. Les œufs et le sucre se mêlèrent aux restes. Sean et moi avions toujours été comme ça. Très complice et pas sérieux ensemble. On aurait presque dit des jumeaux. Sans mon frère j’étais rien, j’étais fini. Notre relation nous appartenait qu’à nous. Personne ne pouvait nous comprendre. C’était nous. C’était exceptionnel. J’avais une si grande complicité et fraternité avec lui. Je ferais tout pour mon frère tout simplement. Nos éclats de rire brisé le silence de la maison. Alors qu’on se courrait après dans la maison. « Si je t’attrapa Jane, Mr Chatouillis va sévir ! ». Je me retournais et lui tirai la langue « Même pas cap ! ». J’avais vingt ans mais qu’importe, j’étais une grande enfant. « Mais c’est pas vrai ! De vrai gamin ! Vous ne pouvez pas être sérieux l’espace d’un instant non ? Ça vous tuerait ? ». Ma petite sœur. Elle avait quatre ans de moins que moi. « Ohh rabat-joie ! Viens t’amuser avec nous un peu ! ». C’était la plus sérieuse des deux. Un regard avec Sean et on se jeta de suite sur elle. Mr Chatouillis attaquant. C’était comme ça. J’étais la responsable de la maison, mais je n’étais encore qu’une gamine.

"nulle amie ne vaut une soeur"

« Jane ? Tu me trouves comment dans cette robe ? ». Je relevais le nez de mon bouquin. Elle était si belle. Je posais mon bouquin sur le lit et je me levais. Elle avait quitté le pas de ma porte pour y rentrer. Je tournais autour d’elle. « Tu es parfaite ma Oli’ ». Je n’étais peut-être pas aussi complice avec ma sœur qu’avec mon frère. Mais nul ne doute que je l’aimais plus que tout aussi. Elle était si belle avec ses cheveux. « Non regarde ça me boudine là et puis là aussi et là ça pend c’est horrible ! ». Je soupirais. Olivia était tellement obsédée par son apparence. Elle ne se trouvait jamais parfaite. Et pourtant elle était tout sauf imparfaite. J’arrangeais un peu la position de sa robe. « Arrête Olichou ! Tu vas en faire tomber des garçons à ce bal crois-moi ! D’ailleurs ton cavalier a un nom ou pas ? ». Je lui offris un sourire complice. On était deux filles, deux sœurs. Nous pouvions parler de ça non ? Au vue de son sourire, je compris que ce garçon comptait beaucoup pour elle « Simon. On est là que depuis un an à Littleton mais dès que j’ai croisé son regard, j’en suis tombé folle amoureuse ! ». Je la comprenais tellement. Nous avions déménagé à Littleton. J’étais juste en voyage ici. Mais je l’ai rencontré et j’en suis tombé folle amoureuse, du coup j’ai emmené ma famille ici. Alors oui je la comprenais « Ohh comme je te comprends ! Ce garçon a intérêt de te mériter ! Mais dis-toi aussi que tu as que dix-sept ans et qu’à cet âge-là l’amour ça va et ça vient ! ». Je la fis s’assoir sur une chaise. Je pris une brosse à cheveux et j’entrepris de la coiffer. « Je sais Jany mais je crois que c’est le bon, vraiment le bon ! ». Je souris, en entreprenant un chignon complexe. « Alors si c’est le bon fonce ! Et si ce garçon t’aime aussi réellement alors il t’acceptera comme tu es ! Et tu es magnifique ! ». Je finis le chignon. Et je la maquillé. Peu de temps après, ça sonna à la porte. Ce fut Sean qui ouvrit. Et je pus d’entré entendre les questions qu’il commença à poser à Simon. Je regardais un dernier instant ma sœur et je lui dis « Fonce avant que Sean le fasse fuir …. Ahhh et surtout cocotte amuse toi, profite on est jeune qu’une fois ». Je l’embrassais et elle partit. Je me rappelais de mon bal. Et de ce garçon. Je ne l’ai plus jamais revu après ce bal.

Je m’endormais sur le canapé en attendant le retour d’Olivia vers les une heure du matin. Mais personne n’arriva. Je commençais à m’inquiéter. Ce n’est que quand j’allais appeler la police sur les coups de deux heures, que la porte s’ouvrit. Elle rentra complètement décomposer et sa robe déchiré. Je me précipité sur elle. « OLIVIA ! ». En m’approchant je vis ses yeux tellement rouge de pleur. Je la serrais contre moi. « Mon Dieu ! Que s’est-il passé ? ». « Pardon, je suis désolé … pardon … Pardon ! ». Je lui caressais les cheveux. Comme une mère le ferait. Je la fis s’assoir. « Olivia-Mia qu’est-ce qui s’est passé ? ». J’entendis des pas arriver derrière moi. « Merde Oli’ ! Qu’est-ce qui t’es arrivée ? ». Je voyais les larmes couler le long de ses joues. « Si … Simon … il … il … m’a … m’a … for…forcé à … ». Je compris immédiatement. Le gros con. Je sentis les nerfs monter en moi. « Je vais le défoncer ce salop ! On touche pas à ma petite sœur ! ». Je le vis se lever et je le savais décider. Je le savais prêt à tout pour protéger sa famille. « SEAN ! Assis-toi ! On va à la police et c’est tout ! ». On l’emmena au commissariat déposé plainte. Simon fut arrêter et juger.

Trois mois plus tard, Oli’ apprit qu’elle était enceinte. Elle ne savait pas quoi faire avorter ou le garder et le faire adopter. Seule sa décision importée. Quelque qu’elle soit je la soutiendrais et Sean aussi. Elle n’eut pas à faire ce choix, elle perdit le bébé quinze jours plus tard. Elle en sortit plus grande. Et nos liens devinrent plus unis.

"i love you .... like a crazy"

On départ il y a cinq ans, quand je suis arrivée à Littleton ce n’était que pour quelques jours, des vacances, de quoi m’aérer l’esprit. Les parents étaient dans leur mois de présence alors j’en avais profité. J’avais vingt et un ans. Une pause dans les études. Un besoin qui s’était imposé à moi. Mais j’ai tout d’abord était charmé par cette ville. Et son Maire complètement cinglé. La mentalité des habitants. C’était tellement original leur façon de vivre. Et puis je l’ai rencontré lui. L’amour. L’amoureux. Mon amoureux. Mon âme-sœur. Mon coup de foudre. Il était là avec cette poussette. En passant la petite fille fit tomber son doudou par terre. Alors instinctivement je me suis baissé et je lui ai ramassé. J’avais le contact avec les enfants. A vrai dire je l’ai aimé beaucoup même. Je lui tendis et elle me sourit. Elle était si petite. « Merci beaucoup ! Elle le fait souvent tomber ! ». Je lui offris un grand sourire. « Il n’y a pas de problème c’est avec plaisir ! ». La petite m’avait attrapé le doigt. « Je crois qu’elle vous a adopté ! ». Je lâchais un petit rire. « Vous et votre femme devaient être vraiment très heureux de ce magnifique petit bout de chou ! …. Pas vrai la puce ? ». Un silence. Quand je relevais le regard, je compris que j’avais dit quelque chose à ne pas dire apparemment. « Elle est partie ! Elle a mis notre fille au monde, elle est restée un mois et elle est juste partie en me laissant la petite ». Etonnant c’était plutôt le contraire qui se passait non ? Mais je trouvais ça plutôt chouette qu’il est gardé la petite quand même. « Je suis désolé ! Alors cette petite à la chance d’avoir un papa si formidable que vous ! ». Il me sourit. Et ça me fit fondre. C’était clair, j’étais folle de lui. « Marchons ensemble si vous le souhaitez ? ». Je hochais la tête. C’était l’opposé de ma destination mais qu’importe j’étais en vacance. Et pendant près de deux heures nous avons parlé. Et puis on s’est revu plusieurs fois. Flirtant l’un et l’autre. Jouant au chat et à la souris. Jusqu’au baisé final à l’aéroport quand j’ai dû repartir à mon Irlande natal, avec la promesse de mon retour imminent.

En rentrant, j’ai cherché maison et école. Deux mois plus tard j’étais de retour ici avec la famille. Avec Sean et Olivia. Caleb et moi avons continué à nous voir. J’ai continué à développer un bon contact avec Emma sa petite fille. Puis alors que j’avais vingt-trois ans, il me demanda en mariage. J’acceptais évidemment. Je ne pouvais pas refuser. Nous nous sommes mariés. Ce fut un des plus beaux jours de ma vie. Et j’étais la femme la plus comblé de la terre.

Puis il arriva la chose suivante. Un soir, alors que nous regardions la télévision. Il l’éteignit « Mais … je regardais moi ! ». « J’ai été appelé en Afghanistan Jane ! Je pars la semaine prochaine ! ». Non, non, non ce n’était pas possible. Les larmes montèrent sans préavis et coulèrent. « Pleur pas mon ange ! Je vais revenir je te le promets ! ». « Je t’aime ! Je t’aime tellement ! Je ne veux pas ! Je savais en t’épousant que je risquais de te voir partir mais je ne pensais pas que ça arriverais ! ». « Je t’aime aussi mon ange ! ».

"please .... come back"

Nous étions à la gare, d’autre militaire était là. J’avais la petite Emma dans les bras et Sean & Olivia à mes côtés. Il allait partir. Il m’embrassa posa son front contre le mien et murmura « Je serais bientôt de retour à la maison je te le promets princesse ! Bientôt très bientôt ! On pourra être ensemble pour l’éternité ! Je t’aime… comme un fou ». Il embrassa sa petite fille, Sean & Olivia. Et il monta dans ce train.

Il y a quelques semaines il est revenu. Mais il n’était pas là. Son corps était là mais pas son âme. Il était ailleurs. Il était revenu sans dire un seul mot. Il m’avait juste embrassé et était allé voir Emma sa petite fille de presque cinq ans maintenant. Et après il s’était assis sur notre lit et n’avait pas bougé. C’était moi qui avais été obligé de le changer. De lui enlever ses vêtements camouflage. Je l’avais conduit à la douche et l’avait douché. Dans le silence. Puis je l’avais couché. Et cela pendant plusieurs jours. Dans un silence des plus complets. Il ne bougeait plus de la chambre. Et j’étais obligée de m’occuper de loin comme d’un enfant.

Il était encore assis là au bord de ce lit. Je grimpais et par derrière je le serrais contre moi « Parle-moi Cal’ ! Dis-moi quelque chose ! Tu me manques ! ». Le silence seul me répondit. Je le serrais encore plus fort contre moi. Et mes larmes une fois de plus coulèrent le long de mes joues mouillant son dos nu. « Pleure pas mon ange ! ». Il avait dit comme un murmure. Il se retourna attrapa entre ses mains mon visage et essuya mes larmes « Pardon petit ange ! Pardon ! ». Ses lèvres s’unirent aux miennes. Un baiser de quelques secondes. Qui me fit un bien fou. Puis il s’arracha à moi et s’allongea, se refermant dans son silence. J’étais désespéré.

"quand il me prend dans ses bras ... je vois la vie en rose"

La guerre, je la savais être dure et fatigante. Il était revenu après une attaque, où seul deux personnes en sortir vivante parmi tous ses collègues, ses amis, lui et son meilleur ami. Voilà presque neuf mois qu’il est revenu et il n’est plus le même plus du tout. La guerre la changé, complètement changé. Mais je sais son amour intact. Je sais son amour. La nuit je suis là avec lui, quand ses nuits sont bouleversé par des images de là-bas. Il commençait à remonter la pente. Je le voyais. Il était bien plus souriant et avenant. Mais je savais ses nuits encore bouleversé. Il avait repris le travail dans le centre de police en tant qu’expert en balistique et enquête de terrain. J’étais contente pour lui. C’était un moyen qu’il surmonte tout ça peut-être. Et que notre couple survive à tout ça.